Alexa, l’assistant vocal d’Amazon avait été sous les feux des projecteurs en avril dernier, lorsqu’une enquête de Bloomberg avait révélé que le géant du e-commerce demandait à des sous-traitants d’écouter une partie des conversations des utilisateurs de son enceinte intelligente, afin d’améliorer la technologie de reconnaissance vocale de cette dernière.

Durant l’été, les autres géants du numérique ont été épinglés à leur tour pour les mêmes dérives, autour de Google Assistant, du Siri d’Apple, du service de messagerie Messenger de Facebook, et de plusieurs produits phares de Microsoft, Cortana, Skype et la Xbox.

Plus d’informations dans Le Figaro – Lucie Ronfaut – 23/08/2019