Le procès en appel des anciens dirigeants de France Télécom, poursuivis pour harcèlement moral institutionnel, s’est achevé en fin de semaine dernière, la décision étant mise en délibéré jusqu’au 30 septembre.

Face aux réquisitions du ministère public, la défense de l’ancien P-DG Didier Lombard a demandé la relaxe, mettant en cause l’Etat, qui a « une responsabilité majeure » : « (…) plus il vendait ses actions, plus il demandait de dividendes pour conserver le même montant de revenus (…) ». Quant à Didier Lombard, il avait mis en place des délégations de pouvoir, de sorte que tout ne remontait pas jusqu’à lui : selon ses avocats, on peut juste lui reprocher de ne « pas s’être assez intéressé aux RH ».

Plus d’informations dans L’Express – 01/07/2022

Une autre publication nous propose un compte rendu assez détaillé des plaidoiries de la défense.

Plus d’informations dans Dalloz Actualité – Antoine Bloch – 05/07/2022