Les collaborateurs, confiants dans l’avenir de l’entreprise, ont massivement répondu à cette offre. En privilégiant l’offre à effet de levier, l’État évite d’attribuer aux salariés les actions gratuites prévues (1 gratuite pour 4 achetées) et permet ainsi à France Télécom d’économiser l’abondement que l’entreprise aurait du verser (jusqu’à 120 millions d’euros). Il aurait fallu permettre à chaque salarié de choisir la formule qu’il retient.

1. La CFE-CGC/UNSA qui a su décrypter les pièges de l’offre, a lancé une action devant le Conseil d’État pour récupérer les 120 millions d’euros non versés aux salariés.