Emploi et réorganisations
En 2005, la seule (!) CFTC signait un accord GPEC (Gestion prévisionnelle de l’Emploi et des Compétences), qui permettait à la Direction d’organiser la mobilité forcée, sans tenir compte du statut des personnels. La Direction continue de refuser la mise en place d’un plan d’accompagnement des mobilités forcées et organise une pression inacceptable sur le personnel pour les inciter à quitter l’entreprise.
- La CFE-CGC/UNSA a fait valoir son droit d’opposition à cet indécent accord GPEC. Il est rare, donc, et d’autant plus à souligner, qu’une entreprise du CAC 40 se retrouve ainsi sans accord GPEC.
- La CFE-CGC/UNSA exige l’ouverture de réelles négociations pour permettre aux 40 000 salariés concernés par les réorganisations de poursuivre leur carrière dans la sérénité.


