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Metz aurait beaucoup perdu, cinq ans plus tôt, en voyant lui échapper la direction territoriale qui lui était promise mais finalement arrachée par Strasbourg.

Certes le centre messin compte près de mille emplois mais, selon Sébastien Crozier, de la direction parisienne de la CFE CGC/UNSA, avec une «  surreprésentation des centres d’appels ».

Cette dominante d’emplois, par excellence délocalisables, serait un signe de vulnérabilité «  France Télécom l’a fait pour 12 000 emplois en cinq vers la Tunisie, le Maroc, l’Ile Maurice, Dakar… où un centre d’appel est entre 30 et 500 % moins cher qu’en France » poursuit Sébastien Crozier…

…Le développement du très haut débit et des partenariats avec les collectivités locales serait, selon la CFE-CGC/UNSA la clé pour financer ces nouveaux emplois.