L’ONU s’inquiète des conditions de travail des « ouvriers du clic »

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Photo : Reuters

Ces petites mains invisibles sont indispensables pour nettoyer les bases de données, entraîner les intelligences artificielles ou encore assurer la modération des contenus sur le Web. Pour la première fois, une étude de grande ampleur de l’ONU s’est penchée sur le « digital labor ». L’organisation internationale dresse un constat alarmant, estimant que ces travaux sous-payés –quand ils le sont – s’apparentent à « un retour aux procédés industriels déqualifiés associés à Taylor, mais sans la loyauté et la sécurité de l’emploi ».

Plus d’informations dans La Tribune – Anaïs Cherif – 26/09/2018