ASC : Voyage au Japon : la longue route vers l’Extrême Orient

Pour rappel :

obligés de reprendre le contrat de ce nouveau voyage signé par la Présidente des ASC, démissionnaire de ses fonctions à l’issue du CE d’Avril, vos élus CFE-CGC s’aperçoivent de ses nombreuses lacunes, en particulier un nombre insuffisant de sièges réservés par le voyagiste pour faire partir plus de monde dans des conditions budgétaires satisfaisantes.

Analyse de la CFE-CGC : un contrat mal négocié et mal bordé… 

Après avoir tenté, en vain, de manipuler les règles d’organisation du voyage au Japon pour favoriser des intérêts obscurs, certains membres de la commission ASC ont fini par quitter un Wasen qui prenait l’eau :

  • le contrat stipulait un tarif ferme et arrêté pour 35 à 39 participants, tarif moins élevé d’une centaine d’euros que celui applicable à 34 partants.
  • or le voyagiste nous a confirmé d’une part un surcoût de 300 euros à partir du 36ème participant, d’autre part n’avoir réservé que 35 places ! En d’autres termes le seul moyen de bénéficier du tarif le plus avantageux pour le CE est de partir à 35 personnes exactement ! À 34 ou à 36, le prix par participant est plus élevé !

Vos élus CFE-CGC ont donc proposé à la Commission ASC de faire partir 35 personnes afin d’optimiser les finances du CE et de dégager un solde budgétaire permettant d’organiser un ultime voyage en 2019 !

Une fois de plus, les choix opérés en matière de voyages ont fait preuve d’iniquité au regard de la répartition des subventions auprès de l’ensemble des salariés, alors que leur organisation requiert sagacité, temps et implication. 

La CFE-CGC a toujours milité et continuera de militer pour une distribution intégrale de vos subventions au tableau magique.