En milieu de semaine, le Président de la République a reçu les partenaires sociaux à l’Elysée. Il leur a présenté les nouvelles règles des dispositifs d’indemnisation du chômage partiel (plus d’informations dans Le Monde – 24/06/2020).

En revanche, le chef de l’Etat a exclu d’abroger sa réforme de l’assurance chômage. De quoi hérisser les représentants des syndicats de salariés, à l’instar de François Hommeril, le Président de la CFE-CGC.

C’est mener une politique de l’autruche. Car de toute façon, si la dette de l’Unedic flambe à la fin de l’année à plus de 63 milliards d’euros avec la crise, il faudra trouver des solutions. Il est donc inutile de chercher à gagner du temps en pénalisant les plus fragiles pour contenir ce déficit cumulé.

Plus d’informations dans Marianne – Laurence Dequay – 25/06/2020