Depuis septembre 2020, un salarié qui veut suivre une formation, mais qui n’a pas les droits suffisants pour la financer sur son Compte personnel de formation (CPF), peut solliciter son employeur pour lui demander de l’aide pour payer le reste à charge. Dans le sens inverse, l’employeur peut réaliser un versement volontaire du montant qu’il souhaite sur les CPF de certains salariés pour les inciter à se former.

Toutefois, « les pratiques d’abondement par les entreprises se développent mais demeurent marginales, peu connues et difficiles à mettre en œuvre », ont pointé les partenaires sociaux dans l’accord-cadre national interprofessionnel (ANI) sur la formation, signé en octobre dernier.

Plus d’informations dans Capital – Sarah Asali – 23/11/2021