Le dispositif pourrait concerner 6 000 à 8 000 salariés sur quatre ans, soit environ 10 % des effectifs français de l’opérateur.

Malgré le succès de son dernier plan de départs pour les seniors, achevé en 2022, Orange affirmait ne pas vouloir lancer un nouveau « temps partiel senior » (TPS).
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« Quel sera l’effet de ce nouveau TPS sur la charge de travail de ceux qui vont rester », s’interroge Sébastien Crozier, président de la CFE-CGC d’Orange, premier syndicat du groupe, qui craint que ce dispositif se transforme en « outil de violence sociale pour pousser les salariés les plus âgés vers la sortie ».
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Lire l’article complet sur Le Monde (abonnés) – Olivier Pinaud – 16/11/2024
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